Vous croyez connaître le far breton parce que vous en avez vu au supermarché entre l’éclair au chocolat et le flan sans saveur ? Mauvaise pioche ! Ici, on vous embarque dans la vraie Bretagne, celle où le far breton maison sort du four de mamie, crépite dans la cuisine, envahit la pièce de ses effluves voluptueuses et vous ramène illico en enfance, même si votre grand-mère habitait Marseille. Entre coups de main de Breizh Gourmand et clins d’œil aux saveurs du terroir, on va remonter le temps, dénicher les petits secrets des recettes d’antan, et vous balancer tout ce qu’il faut pour réussir votre far comme chez grand-mère, version Authentic Breizh. Prêt à saupoudrer votre plan de travail de folklore culinaire et à faire baver vos potes ? Suivez-moi, on taille la route direction les goûts d’autrefois, avec des ingrédients simples, des astuces qui claquent, et des tours de main qui sentent bon la pâtisserie bretonne.
Les ingrédients incontournables du far breton chez grand-mère : retour aux sources bretonnes
Le far breton, c’est l’incarnation de la générosité et de la simplicité, sauce bretonne. Oubliez les listes à rallonge façon MasterChef, ici, on revient aux fondamentaux. Ce dessert s’appuie sur des ingrédients que même le plus paumé des gourmands saurait trouver au marché : des œufs frais, du lait entier bien riche, du sucre qui donne envie de chiper la cuillère, de la bonne farine et un morceau de beurre demi-sel qui claque en bouche. La star du show ? Les pruneaux, moelleux à souhait, qui font toute la différence.
Mamie, elle ne rigolait pas avec la qualité. Son secret : sélectionner le meilleur du terroir, que ce soit pour les œufs qui viennent du poulailler ou pour le beurre, forcément demi-sel (pas question de radiner sur la tradition). Pruneaux trop secs ? Pas de panique, un petit bain dans du thé chaud ou du rhum ambré, et ciao la sécheresse ! Résultat : des fruits fondants qui parfument chaque bouchée.
- Œufs frais à température ambiante pour une pâte qui prend bien
- Lait entier (même pas la peine de sortir un écrémé au rabais, respectez-vous)
- Beurre demi-sel, parce que la Bretagne, ce n’est pas Paris
- Pruneaux dénoyautés et bien charnus
- Une pincée de sel pour sublimer le tout
Voici les quantités classiques pour une version généreuse :
Ingrédient | Quantité | Conseil de mamie |
---|---|---|
Farine | 250 g | Tamisez pour zéro grumeaux |
Sucre | 200 g | Mélangez avant cuisson |
Lait entier | 1 litre | À température ambiante |
Œufs | 5 | Idéalement bio ou du marché |
Beurre demi-sel fondu | 80 g | À incorporer tiède |
Pruneaux dénoyautés | 250 g | Faites les tremper si besoin |
Sel | 1 pincée | Pas plus, sinon gare ! |
Côté sourcing, privilégiez les commerçants locaux ou le marché du coin. Vous voulez creuser ? Jetez un œil à cette version primée du far breton et à la recette de grand-mère tout en détail sur Pastis & Olive. Sur le blog Epicerie Gourmande, vous retrouverez d’autres variantes, mais gardez le cap : la simplicité, c’est la force du far breton tradition.
Choisir ses pruneaux comme un chef
Un pruneau qui se respecte se doit d’être moelleux – point barre. Vous tombez sur une vieille boîte perdue au fond du placard ? Direction baignoire : une heure dans du thé corsé ou direct rhum ambré si vous aimez corser l’affaire. S’ils sont parfaits, inutile de bidouiller. Cette attention fait toute la différence au moment de la dégustation finale, parole de Breizh Gourmand.
Pas encore lassé des pruneaux ? Foncez sur cette recette indécente de gourmandise et tentez d’en faire deux versions différentes pour comparer.
Étapes clés pour une pâte de far breton sans grumeaux : secrets transmis par Les Délices de Mamie
La pâte du far breton, c’est presque religieux. Si vous loupez cette étape, votre dessert aura la texture d’un pavé surgelé, rien à voir avec ce que promettait Les Délices de Mamie. Ici, pas besoin de robot haut de gamme, mais le vieux fouet manuel de grand-mère, ça oui ! Et quelques coups de main efficaces.
D’abord, faites mousser les œufs avec le sucre : faut que ça blanchisse, sinon c’est trop paresseux. Ensuite, la farine, tamisée SVP, s’incorpore tranquillement, sans tout balancer d’un coup comme un malotru. Petit à petit, vous versez le lait, tout en fouettant dynamiquement (sortie de bras musclée garantie). Le beurre demi-sel fondu et une pincée de sel viendront parachever ce chef-d’œuvre liquide. La consistance attendue ? Entre la pâte à crêpe épaisse et la crème anglaise : fluide mais pas liquide comme de l’eau.
- Blanchir œufs + sucre pour un appareil mousseux
- Incorporer farine doucement pour éviter les grumeaux
- Verser le lait en remuant comme une furie
- Ajouter le beurre fondu en dernier
- Petite pincée de sel, pour équilibrer les saveurs
Le dernier truc qui change tout dans la tradition grand-mère ? Laisser reposer la pâte une bonne trentaine de minutes. C’est la clé pour une texture qui tient la route à la cuisson.
Comparatif rapide des aspects selon la méthode :
Geste | Effet sur la texture | Goûts d’autrefois vs industrialisé |
---|---|---|
Noeuds dans la pâte | Loupé, résultat dense | On oublie les saveurs du terroir |
Repos suffisant | Far moelleux, bien gonflé | Goûts d’autrefois à gogo |
Lait entier utilisé | Texture crémeuse | Authentic Breizh version deluxe |
Oeufs trop froids | Appareil qui tranche | Loupé total |
Si vous êtes du genre curieux et que vous voulez voir d’autres mains s’y coller, matez la vidéo ci-dessous. Ça vaut son pesant de bréhatines, et ça motive pour casser les œufs, promis.
Des besoins de variantes sans gluten ou vegan ? Rendez-vous sur les délices végétaliens de Pastis & Olive pour jouer la carte moderne sans trahir la tradition – si, si, il paraît que même grand-mère validerait.
Disposer les pruneaux, choisir le moule, réussir la cuisson : l’art breton du far comme chez mamie
Les pruneaux, ce n’est pas « tu les balances et basta ». Pour un far breton maison à l’image de chez grand-mère, faut soigner la répartition. Dans le moule beurré (très, très bien beurré, sinon c’est la croûte du fond qui dit « bon courage »), étalez les pruneaux sur toute la surface, façon damier. Astuce surprenante, héritée de l’arrière-grand-tante Auguste : roulez-les dans un peu de farine avant de les placer dans le plat. Ça évite qu’ils se barrent tous au fond comme lors d’une marée à l’heure de pointe.
Ensuite, on verse lentement la pâte dessus, histoire de ne pas chambouler son échiquier fruité. Le moule, d’ailleurs ? Si possible : plat en terre cuite ou en verre, ancestral et increvable. Pas question de remplir à ras bord, sachez-le. 2 à 3 cm de jeu pour laisser gonfler. Et au four, 180°C, chaleur statique, entre 50 et 60 minutes – on surveille, parce que chaque four a son tempérament de Breton. À 40 minutes, on jette un œil : il doit dorer gentiment, sans carboniser les bords.
- Pruneaux farinés : restent en suspension dans la pâte
- Moule bien beurré pour une croûte dorée et facile à démouler
- Remplir sans excès pour éviter les accidents de cuisson
- Surveiller la cuisson, couvrir si ça dore trop vite
- Refroidir une bonne heure avant de manipuler
À la sortie du four, c’est encore un peu tremblotant au centre ? Aucun stress : c’est normal, le far se raffermit en refroidissant. Le top, c’est de le laisser reposer quelques heures au frais – plus la patience est grande, plus la texture est fondante, digne des meilleurs souvenirs d’antan.
Stade de cuisson | Apparence | Astuce |
---|---|---|
40 minutes | Doré mais encore dense au centre | Eventuellement couvrir le dessus |
60 minutes | Croûte bien formée, bords bruns | Laisser pleinement refroidir |
Refroidissement terminé | Soutient la découpe, texture crémeuse | Démouler délicatement |
Pour plus d’astuces far breton tradition, foncez piocher chez Le Canard Ivre, ou tapez « far breton recette grand-mere » sur Pastis & Olive pour ne rien louper du processus technique digne des grandes tables bretonnes.
Une fois votre œuvre refroidie, passez à la découpe. C’est maintenant que l’assiette de votre enfance reprend vie : triangle ou carré, comme mamie au goûter.
Dégustation, accompagnements, présentations : la grande classe à la bretonne
Le far breton, chez les puristes, ça se déguste sans chichis, coupé façon portions généreuses qui collent encore un peu à la lame du couteau (signe que c’est réussi). Mais rien n’empêche d’y poser une touche (très légère) de modernité pour épater la galerie. Déjà, sachez que le far gagne en intensité s’il passe la nuit au frais – il devient plus dense, plus parfumé, bref, un vrai bonbon de Nostalgie Gourmande.
- Servir à température ambiante : saveurs au top
- Option : ajouter une cuillère de crème fraîche épaisse légèrement sucrée
- Accompagner d’une compote de pommes maison
- Saupoudrer de sucre glace (mais pas trop)
- Accorder avec un café noir ou une infusion légère
Pour impressionner les convives, variez les formes : triangles, carrés, parts rondes selon votre plat fétiche. Si vous gueulez après la présentation, inspirez-vous de L’Atelier Gourmand qui pousse le visuel presque jusqu’à la gastronomie. Et le bonus, c’est que même en 2025, ça en jette toujours autant au moment du service.
Accompagnement | Effet | Conseil |
---|---|---|
Crème fraîche | Adoucit la puissance du pruneau | A ajouter juste avant dégustation |
Compote de pommes | Apporte une note fruitée/acidulée | Doser avec parcimonie |
Sucre glace | Finition élégante | Saupoudrer au dernier moment |
Nature | Respect de la tradition | Pour les puristes inconditionnels |
N’oubliez pas de servir votre far breton maison avec la fierté d’un vrai Breizh Gourmand : « Goûte ça, tu m’en diras des nouvelles ! ». Et pour les sceptiques de la version simple, tell them de checker cette recette ultra gourmande chez Recettes de Grand-Mère.
Variantes, astuces et héritage : réinterpréter le far breton, des recettes d’antan à la modernité
Quand on a fait le tour de la version pruneaux et qu’on a envie de pimper son far breton maison, pas la peine de filer chercher de la spiruline ou du tofu ! On reste dans l’esprit saveurs du terroir, avec des déclinaisons qui collent à la philosophie des pâtisseries bretonnes façon chez grand-mère. Le produit, la gourmandise, la vraie – point barre.
- Far aux raisins blonds passés dans le rhum pour rappeler les dimanches pluvieux sur la côte
- Version abricot sec (bio de préférence), pour ajouter une touche acidulée
- Far nature, boosté à la vanille ou parfumé à la fleur d’oranger
- Far au sarrasin (remplacer un tiers de la farine blanche), pour les puristes du Breizh et l’accord parfait avec un cidre brut
- Et si plus d’inspiration : le far vegan façon Pastis & Olive pour époustoufler le clan à table
En 2025, les influenceurs food nous abreuvent de mille et une astuces, mais la vraie différence, c’est toujours le respect des recettess d’antan et des gestes authentiques. Un bon moule, quelques fruits différents, un reste de caramel, et hop, votre far breton devient la star des brunchs du dimanche, des goûters d’enfant et même des pauses-café au bureau (si, si, osez).
Variante | Ingrédient clé | Vibe |
---|---|---|
Far pruneaux classique | Pruneaux moelleux | Goûts d’autrefois, réconfort |
Far aux raisins | Raisins blonds rhumés | Gourmandise régressive |
Far à la fleur d’oranger | Eau de fleur d’oranger | Parfum subtil, esprit provençal |
Far nature | Vanille naturelle | Simple, mais renversant |
Far au sarrasin | Farine de sarrasin | Rustique, ultra Breizh |
Pour ceux qui veulent la jouer « moelleux et rapide », matez la page Teppaz and Co ou St Claire, et adaptez jusqu’à trouver votre version fétiche.
Envie d’aller plus loin dans les astuces ? Découvrez les secrets du terroir sur Pastis & Olive pour la cuisson parfaite, parce qu’une fois que vous aurez conquis le far breton, la Bretagne n’aura plus aucun secret pour votre cuisine.
Le far dans les cafés bretons en 2025 : la tradition paquet-cadeau
Un petit conseil : si la Bretagne vous appelle, entrez dans n’importe quel café en 2025, et demandez un far. Vous verrez que la tradition ne s’est jamais aussi bien portée, malgré les avatars et les imprimantes alimentaires. Le far breton maison, c’est une affaire de famille, de partage et d’ancrage à la terre. Un dessert qui se mérite, qui se déguste, et dont on se souvient.
Pour les passionnés de pure tradition, filez lire cette page de restaurant Gorges du Verdon ou savourer les bonnes idées de chez Fraimenbon. Et, promesse, votre premier far réussi deviendra votre nouveau rituel préféré.
FAQ : Far breton authentique, recettes d’antan et astuces de Breizh Gourmand
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Le far breton se conserve-t-il bien ?
Oui, il se garde 3 à 4 jours au frigo, couvert. Il gagne même en goût après 24 h au repos. Sortez-le 30 minutes avant dégustation pour révéler toutes ses saveurs du terroir. -
Est-ce grave de zapper les pruneaux ?
La tradition veut des pruneaux, mais bosser sans, c’est tout à fait possible. Far nature ou far aux raisins, chacun ses goûts d’autrefois. Pensez à parfumer un peu plus la pâte. -
Puis-je remplacer le beurre demi-sel par un autre beurre ?
On vous regardera de travers en Bretagne ! Pour coller à la pure Authentic Breizh, le beurre demi-sel reste la base, mais en dépannage, un beurre doux + une pincée de sel marche. -
Quel type de lait privilégier ?
Lait entier, et rien d’autre ! Le lait écrémé, c’est bon pour les diètes de Paris, pas pour le far breton tradition de chez grand-mère. -
Des astuces gain de temps ?
Faites tremper les pruneaux à l’avance, préparez la pâte la veille. Encore mieux, faites deux fars d’un coup, il n’en restera pas !